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The long form journalistic project by Nikole Hannah-Jones and a few writers from The New York Times Magazine to redefine America's history related to slavery is a great work that has brought together many great minds, historians and researchers to once again evaluate slavery from a purely African narrative and perspective. The New York Times Magazine has tried to reframe America's history by taking a look at the consequences of slavery, black American contributions being the starting point of the national narrative. The preliminary publication from the project was presented in the magazine, in August 2019, commemorating the 400th anniversary of the arrival of the first enslaved Africans in the then Virginia colony.

While some Africans had already set foot on the "new found land" since the 1500s, as was the case in North America for example, on British America however, these were the first in mainland to be enslaved and brought to the English parts of America.

Nikole's work aroused debates and criticism between renown historians, political commentators and other groups who have expressed strong affinity regarding the publications, demanding corrections based on a certain rational, and not merely on ideology before historical comprehension. In March 2020, The New York Times Magazine released an update meant to ameliorate one of the passages on the American Revolution Slavery Role which previously spearheaded controversies.

The project seeks to re-evaluate slavery within the United States, and this coincided with the anniversary of the 1619 arrival of the first enslaved people to Virginia, challenging national superstitions which speculate that the American historical period commenced from the signing of the Independence Declaration in 1776 or rather, from the arrival of pilgrims in 1620. It rapidly became a big thing, encompassing multiple issues of the magazine, related materials in other publications, and the creation of a school curriculum developed in collaboration with the Pulitzer Center. The project recruited a panel of historians to research, build and develop factual content, with the Smithsonian Institution support.

One of Nikole's goals on the project was to ensure that the content is from African-American contributors especially, who deem the perspective of black writers a vital element to be told in the story. She argues that, some of the colonists fought the Revolutionary War to preserve slavery.

Nikole's book topped best-seller list for Amazon and The New York Times. Some critics have scrutinized The 1619 Project as being "exorbitant" due to the high fees some institutions have paid to have her speak in their institutions. As a challenge, the work is somewhat "mocked" for inaccuracies, as a conspiracy race theory, including being a money making scheme unfortunately. Nikole didn't allow the spark around the project hinder her, as she went ahead to create a children's version of the book, called "The 1619 Project: Born on the Water".

Nikole received several threats during the process of this work that has in a way revolutionalised America. While it was challenging, it was equally worth it, she said in an interview. The entire piece comprises 18 essays, 36 poems and works of fiction, highlighting the legacy of slavery within the US, and how it continues to shape the contemporary American person. This is one of many works that tell the raw experiences African Americans have gone through within America solely from the African perspective. We look forward to many of such works by Africans not only in the US but from the diaspora too.


Le grand projet journalistique de Nikole Hannah-Jones et de quelques écrivains du New York Times Magazine qui vise à redéfinir l'histoire de l'Amérique liée à l'esclavage est un excellent travail qui a réuni de nombreux grands esprits, historiens et chercheurs pour évaluer une fois de plus l'esclavage d'une perspective et d'un point de vue purement africains. Le New York Times Magazine a tenté de recadrer l'histoire de l'Amérique en examinant les conséquences de l'esclavage, les contributions des Noirs américains étant le point de départ de l'histoire nationale. La publication préliminaire du projet a été présentée dans le magazine, en août 2019, commémorant le 400e anniversaire de l'arrivée des premiers Africains réduits en esclavage dans la colonie de Virginie de l'époque.

Alors que certains Africains avaient déjà mis pied sur la "terre nouvellevement trouvée" depuis les années 1500, comme ce fut le cas en Amérique du Nord par exemple ; sur l'Amérique britannique cependant, ceux-ci furent les premiers du continent à être réduits en esclavage et amenés dans les parties anglaises de l'Amérique.

Le travail de Nikole a suscité des débats et des critiques entre des historiens de renom, des commentateurs politiques et d'autres groupes qui ont exprimé une forte affinité à l'égard des publications ; exigeant des corrections basées sur un certain rationnel, et pas simplement sur l'idéologie avant la compréhension historique. En mars 2020, le New York Times Magazine a publié une mise à jour destinée à améliorer l'un des passages sur le rôle de l'esclavage dans la révolution américaine qui avait auparavant suscité des controverses.

Le projet vise à réévaluer l'esclavage aux États-Unis, et ce qui coïncide avec l'anniversaire de l'arrivée en 1619 des premiers esclaves en Virginie, défiant les superstitions nationales qui spéculent que la période historique américaine a commencé à partir de la signature de la déclaration d'indépendance en 1776 ou plutôt, à partir de l'arrivée des pèlerins en 1620. Cela est rapidement devenu une grosse affaire, englobant plusieurs numéros du magazine, des documents connexes dans d'autres publications et la création d'un programme scolaire développé en collaboration avec le Pulitzer Center. Le projet a recruté un panel d'historiens pour rechercher, construire et développer un contenu factuel, avec le soutien de la Smithsonian Institution.

L'un des objectifs de Nikole sur le projet était de s'assurer que le contenu provient en particulier de contributeurs afro-américains, qui considèrent le point de vue des écrivains noirs comme un élément vital à raconter dans l'histoire. Elle soutient que certains des colons se sont battus dans la guerre d'indépendance pour préserver l'esclavage.

Le livre de Nikole est en tête de la liste des best-sellers d'Amazon et du New York Times. Certains critiques ont examiné le projet 1619 comme étant "exorbitant" en raison des frais élevés que certaines institutions ont payés pour l'inviter à faire des discours. En tant que challenge, le travail est malheureusement quelque peu "moqué" pour inexactitudes, théorie raciale du complot, et stratagème pour gagner de l'argent. Nikole n'a pas laissé le buzz autour du projet l'entraver, si bien qu'elle a fait une version pour enfants du livre, intitulée "Le projet 1619 : Né sur l'eau".

Nikole a reçu plusieurs menaces au cours de ce travail qui a en quelque sorte révolutionné l'Amérique. Même si c'était difficile, cela en valait la peine, a-t-elle déclaré dans une interview. La pièce entière comprend 18 essais, 36 poèmes et œuvres de fiction, qui soulignent l'héritage de l'esclavage aux États-Unis et comment il continue de façonner la personnalité américaine contemporaine. C'est l'une des nombreuses œuvres qui racontent les expériences brutes que les Afro-Américains ont vécues en Amérique uniquement du point de vue africain. Nous attendons avec impatience de nombreuses œuvres de ce type réalisées par des Africains, non seulement aux États-Unis, mais également dans la diaspora.


November 27, 2021 . 3 min . by Odile Ndongo



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